L'indépendance des magistrats est constitutionnellemnt protégée, mais elle relève aussi d'une éthique de la responsabilité. Partis pris, biais de réflexion, allégeances peuvent entraver le jugement et entacher de suspicion l'independance et l'impartialité des magistrats. Leur indépendance est donc aussi affaire de tempérament, d'honneur, de vertu.