La Masure de ma mère a deux couvertures. À vous de choisir celle que vous préférez, ou les deux... !
« Ceci n’est pas un roman, mais une histoire vraie de relations entre des pauvres et des riches, entre des hommes et des femmes. Ça ne s’est pas passé au Moyen Âge ni dans le tiers-monde, mais dans la campagne bretonne, il y a un peu moins de cent ans, dans une région très chrétienne... » Un jour le prêtre dit : « Dieu est là, ma brave dame, pour les pauvres et pour les riches. Les pauvres ont moins de chance, c’est tout. » Et la famille de Lise n’en a justement pas eu beaucoup. Sa mère, veuve, a quatre enfants qu’il faut nourrir. Aux 11 ans de sa fille aînée, Lise, elle la place chez un riche fermier. La petite gardera les vaches, sera logée dans la grange et... mangera à sa faim. Elle y rencontrera des personnes aimantes, d’autres plus sournoises. Elle y grandira un temps... Jeanine Ogor nous raconte ce que Lise, sa mère, a vécu dans une époque pas si lointaine et pourtant à des années lumière de notre monde. À travers le regard de la fillette, on découvre la vie de la campagne dans le Bas-Léon de la première moitié du XXème siècle. Un monde dur et doux à la fois, avec ses propres lois. Qu’a vécu, dans cette ferme, la douce Lise, qui la marquera à jamais ?